Ce chapitre d’un ouvrage collectif reprenant les communications à un colloque de l’Association française de sciences sociales des religions (en février 2003), envisage le rite comme un objet social “mou”, à l’opposé de l’acception courante qui en fait l’équivalent d’une pratique traditionnelle, immémoriale, inchangée depuis des générations. Les fiançailles catholiques apparaissent comme un exemple parfait de “rite mou”.
Publié dans La Modernité rituelle, Rites politiques et religieux des sociétés modernes, ouvrage dirigé par Erwan Dianteill, Danièle Hervieu-Léger et Isabelle Saint-Martin, Paris, L’Harmattan, 2004, pp.165-177
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