Compte-rendu de “Sex-shops” sur liens-socio
Igor Martinache, le serial-reviewer de Liens-socio a lu Sex-shops, une histoire française :
Aussi curieux que cela puisse paraître, cet ouvrage de Baptiste Coulmont est le premier du genre à s’intéresser aux sex-shops. Voilà pourtant un sujet qui pourraît paraître à première vue attrayant (pour ne pas dire « vendeur ») pour un chercheur comme pour le public… à moins que l’objet de recherche ne suscite la même réaction de tension entre fascination et répulsion que les commerces en question. Telle est du moins l’impression que l’on peut avoir en tant que lecteur quand on constate sa propre gêne à arborer le livre dans les lieux publics, étant donnée sa rose couverture quelque peu suggestive…
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Rappel : Vous pouvez acheter Sex-shops sur amazon ou dans toute bonne librairie…
[yarpp]
5 commentaires
Un commentaire par Pierre M (21/10/2007 à 18:03)
J’avais déjà remarqué dans une de mes précédentes notes combien Igor Martinache était efficace dans la rédaction de notes de lecture. Je serais curieux de connaître sa technique, il lit combien de bouquins par semaine ce garçon ???
Un commentaire par Baptiste Coulmont (21/10/2007 à 18:14)
Je ne sais pas, mais il est efficace en effet… et il sévit aussi sur “la vie des idées point fr”. J’espère bien le voir à Lyon en novembre, je lui poserai la question.
Un commentaire par a*** jérôme (24/10/2007 à 14:31)
Après avoir lu le synopsis du livre du Baptiste Coulmont sur liens socio qui invite à poster son témoignages de sa vie sexuelle sur son blog, je vous envoi le mien.
Concernant les sex-shops, j’y vais depuis que je sors avec mon amie c’est-à-dire, il y a 2 ans, j’avais alors 20 ans. Nous y allons toujours ensemble et seulement lors de la saint valentin, ou des occasions rares. Nous preferons acheter sur internet pour plusieurs raisons. La première vient du malaise plus présent encore chez ma copine que chez moi éprouvé lorsqu’on s’y rend. La seconde raison est qu’il est moins chere d’acheter sur le net, et que le vendeur du sex-shop , face à nos interrogations sur les sex-shops en ligne, n’a pas chercher à nous retenir et nous a en effet affirmer que les produits étaient identiques. Ainsi, lors de la première venue pour ma copine comme pour moi dans un sex-shop, nous y allions le soir de la saint valentin pour acheter un sex-toys. Alors, après une découverte amusée du lieu et ses articles que nous jugions insolites, nous avons opté pour l’achat soft d’un anneau vibrant.
Lors de notre seconde visite, nous n’avons rien acheter mais avons receuilli des infos sur les sites internet de confiance auprès d’un vendeur que nous n’avions pas vu la fois précédente. Lors de nos deux venues, le sex-xhop est resté désert sauf lors de visitesexpress de client qui nous voyant arriver partaient.
Après être aller dans un sex-shop pour la première fois, j’en ai parler un peu autour de moi, avec mes amis et en retirais une certaine fierté, conscient du tabou franchi. Mais, il paraît clair que d’aller en couple dans un sex-shop est socialement assez valorisé par rapport à d’autre pratique telle que le fait d’y aller seul.
Si vous avez des questions, je suis tout-à-fait disponible à en parler.
au revoir et bon courage
Un commentaire par Nadine Bazombanza (29/02/2008 à 18:32)
je réponds surtout à la question de Pierre M. concernant la capacité d’Igor Martinache à lire et faire des commentaires, eh bien il tient cela de son père dont j’ai été l’assistante – oui ce garçon sort du rang et il a des capacités hors du commun – j’ajouterai que tout ce qu’il écrit est clair, net – rien de trop et c’est la stricte réalité des choses.
Un commentaire par Gishin (08/05/2008 à 10:46)
Concernant Igor Martinache, son classement en tant que major de l’agrégation de sciences sociales est une preuve de ces “capacités hors du commun”…
Il ira loin ce petit !..