Le sex-shop : arme dans les luttes municipales
« Vous m’embêtez… ? J’ouvre un sex-shop ! ” : c’est ainsi que Michael Zarlenga a réagi récemment, d’après un article du Washington Post .
Dans le quartier d’Old Town Alexandria, Zarlenga voulait agrandir son magasin. La commission locale des monuments historiques a refusé. En réponse, il a loué l’espace à un sex-shop :
Zarlenga spent $350,000 on plans to expand his hunting and fishing store, the Trophy Room. He worked with city officials for almost two years and thought he had their support — until the architectural review board told him he couldn’t alter the historic property.
Furious and out of money, Zarlenga rented the space to its newest occupant, Le Tache.
“I can’t say I didn’t know it would ruffle feathers,” said Zarlenga, 41. “Actually, I was hoping for a fast-food chain because I thought that would be more annoying to the city.”
source
Cela rappelle une affaire similaire en France, où, dans le petit village de Saint-Béat, un boulanger a ouvert un sex shop pour protester.
Les arts de la résistance suivent parfois des règles structurelles.
2 commentaires
Un commentaire par sexshop (05/05/2009 à 12:57)
Ok c’est une solution, sauf qu’en france pour ouvrir un sexshop c’est encore plus difficile, il faut une tonne d’autorisations, et tout est fait pour vous metre des bâtons dans les roues, par pure hypocrisie comme d’habitude.
Un commentaire par Baptiste Coulmont (05/05/2009 à 13:24)
Il n’y a pas besoin d’autorisations pour ouvrir un sex-shop en France. Mais des bâtons dans les roues, parfois.