Le prénom ne se trouve pas dans la base. Il concerne probablement moins de 40 personnes. Les prénoms rares n'ont pas été pris en compte.
Le prénom n'est pas magique. Il ne favorise pas de lui-même un résultat plutôt qu'un autre. Le prénom est le reflet indirect de l'origine sociale. D'une année sur l'autre, les variations peuvent être importantes, surtout pour les prénoms peu fréquents (donnés à moins de 300 personnes). Exercez toujours votre esprit critique.
Sociologie des prénoms, aux éditions La Découverte, synthétise une trentaine d'années de travaux de sciences sociales sur les prénoms.Ce livre peut vous aider à comprendre pourquoi les « Léa » de maintenant seront, demain, les « Mauricette » d'aujourd'hui
Baptiste Coulmont est sociologue, professeur à l'École normale supérieure Paris Saclay et chercheur à l'Institut des sciences sociales du politique. Il pense que les prénoms peuvent constituer de puissants indicateurs de position sociale.
Les différentes académies publient, chaque année, les résultats nominatifs au bac. Ces données -- pour les bacs généraux et technologiques -- ont été agrégées et anonymisées. Seuls environ 3400 prénoms apparaissant plus de 40 fois au total entre 2012 et 2020 ont été retenus. Seuls les résultats dont la diffusion a été autorisée par les candidats ont été recueillis.
Les « profils » ont été établis à partir d'une classification ascendante hiérarchique. Environ 200 profils différents sont proposés.
Le site enregistre l'heure de la requête et le prénom, rien de plus